Devil’s Records – mai 1984 – DLS 5.84
Enregistré en février 1984 au Hermes Studio, Kamen, Allemagne.
Producteur : Peter Lat.
Ingénieur du son : Wolfgang Eichholz.
A01 – D’ailleurs (C.Augustin / S.Dumont) 2'32
A02 – Majesté (C.Augustin / S.Dumont) 4'50
A03 – Hymne à la mort (C.Augustin / S.Dumont) 5'30
A04 – Légende (C.Augustin / S.Dumont) 2'45
A05 – Nuit des limbes (C.Augustin / S.Dumont) 2'25
B01 – Civilisation perdue (C.Augustin / S.Dumont) 2'12
B02 – Délire d’un fou (C.Augustin / S.Dumont) 5'25
B03 – Cyclope de l’étang (C.Augustin / S.Dumont) 3'58
B04 – Métamorphose (C.Augustin / S.Dumont) 4'38
L’album est distribué en France par Madrigal.
Il est à signaler une erreur de pressage sur les 3500 premiers exemplaire : sur la face B du disque, apparaît la musique d’un groupe africain...
A noter qu’au verso de la pochette figure le logo de "Metal Attack" avec la mention "La revue n°1 du Hard-Rock".
En Allemagne, c’est SPV qui distribue l’album sous la référence 08-1821. Et au verso de la pochette figure le logo de "Metal Hammer" avec la mention "Hard Rock & Heavy Metal poster magazin !".
L’album sera distibué au Canada par Banzai Records sous les références BRC 1914.
Axe Killers Records ressort cet album en CD en 1997 sous la référence 3025462 avec 5 titres supplémentaires :
A01 – D’ailleurs (C.Augustin / S.Dumont) 2'32
A02 – Majesté (C.Augustin / S.Dumont) 4'50
A03 – Hymne à la mort (C.Augustin / S.Dumont) 5'30
A04 – Légende (C.Augustin / S.Dumont) 2'45
A05 – Nuit des limbes (C.Augustin / S.Dumont) 2'25
B01 – Civilisation perdue (C.Augustin / S.Dumont) 2'12
B02 – Délire d’un fou (C.Augustin / S.Dumont) 5'25
B03 – Cyclope de l’étang (C.Augustin / S.Dumont) 3'58
B04 – Métamorphose (C.Augustin / S.Dumont) 4'38
L’album est distribué en France par Madrigal.
Il est à signaler une erreur de pressage sur les 3500 premiers exemplaire : sur la face B du disque, apparaît la musique d’un groupe africain...
A noter qu’au verso de la pochette figure le logo de "Metal Attack" avec la mention "La revue n°1 du Hard-Rock".
En Allemagne, c’est SPV qui distribue l’album sous la référence 08-1821. Et au verso de la pochette figure le logo de "Metal Hammer" avec la mention "Hard Rock & Heavy Metal poster magazin !".
L’album sera distibué au Canada par Banzai Records sous les références BRC 1914.
Axe Killers Records ressort cet album en CD en 1997 sous la référence 3025462 avec 5 titres supplémentaires :
1 – D’ailleurs 2’33
2 – Majesté 4’48
3 – Hymne à la mort 5’31
4 – Légende 2’45
5 – Nuit des limbes 2’22
6 – Civilisation perdue 2’15
7 – Délire d’un fou 5’27
8 – Cyclope de l’étang 3’54
9 – Métamorphose 4’41
10 – Majesty (la version anglaise de "Majesté") 4’48
11 – Legend (version anglaise de "Légende") 2’44
12 – Lost civilization (version anglaise de "Civilisation perdue") 2’16
13 – Cyclops of the lake (version anglaise de "Cyclope de l’étang") 3’52
14 – Metamorphosis (version anglaise de "Métamorphose") 4’12
Il s’agit d’une édition limitée à 5.000 exemplaires numérotés sur la jaquette arrière du boitier CD. Le booklet comporte 16 pages avec des photos, les paroles et un texte d’introduction de Louis BOURGADE avec une traduction en anglais. Le booklet ne reprend pas le visuel du verso du 33 tours.
La pochette est signée Philippe Druillet, le dessinateur de bandes dessinées, créateur – notamment – de Lone Star. Cette pochette a été inspirée par un rêve de Zouille.
Les paroles en anglais sont de Vic Vergeat et Frédérique Laderrière.
Quant au producteur, Peter Lat, il s'agit en fait de Peter Ladwig, le chanteur et guitariste du groupe allemand FARGO (4 albums entre 1979 et 1982) qui abritait en son sein Mathias Jabs qui rejoindra SCORPIONS. Peter Ladwig continue à produire des albums.
Les chroniques de l’album :
"Cristal couleur métal, le divin "Métamorphose" me laisse muette et stupéfaite devant ses facettes éclatantes de technique et de mélodie.
Il y a dans cet album, une énergie monstrueuse, qui a parfois bien du mal à ne pas dépasser les limites qu’on lui octroie ; de démoniaques solos de guitares qui ravagent à feu et à sang chacune des 9 superbes compositions de cet album ; des somptueux atouts, j’avoue m’être laissée entrainer sans aucune résistance dans l’antre incandescente de Sortilège. Chaleur intense, tempos speed, "D’ailleurs", "Civilisation perdue", "Métamorphose" et sa gracile ouverture acoustique. Tempos plus modérés, rythmique forgée dans le béton armé, "Majesté", "Légende", "Cyclope de l’étang" à l’intro batterie menée de mains de maître par le talentueux BOB SNAXE (sic).
Inquiétant et imposant morceau, "Hymne à la mort" possède une ambiance toute particulière, propre à l’angoisse la plus tenace et aux cauchemars les plus éprouvants.
Poison mortel qui s’immiscie traitreusement dans mes veines, c’est "nuit des limbes". L’instrumental relativement court qui clôt la face A sur une vague de vent furieux.
Quant au slow "Délire d’un doux" (sic), il est magnifique. Devant cette voix fabuleuse, aux intonations si chaudes, si pures, si majestueuses, je dois dire que mon émotion est grande. Pour un délire, c’est en un, mais c’est bien agréable.
Tout au long de "Métamorphose", je n’ai cessé de ressentir intensément la force et le trio (sic) de ces grands sorciers que sont les musiciens de Sortilège.
Qu’hommage leur soit rendu en conséquence.
"Aucun ne peut me résister, je suis Majesté".
Assurément !".
JEE, Enfer Magazine n°24, mai 1984
"Ce premier album n’est pas ce qu’il y a de plus fort, ce n’est pas non plus ce qu’il y a de plus speed, ni même de plus cacophonique et cela n’est pas plus mal au contraire !
Si la devise de certaines formations hard’n’heavy consiste en 84 à jouer plus vite que l’éclair, plus fort que le mur du son et plus merdiquement que jamais et si en plus ces formations prétendant jouer non pas du Heavy Metal, le HM étant maintenant dépassé, mais du Speed and Black Metal (quel grand terme pour si peu de qualité !), d’autres par contre, au risque de ne pas plaire à ceux de la première catégorie, travaillent intelligemment le dosage de tout ingrédient constituant une mélodie, composent des lyriques au sens profond, imagés, un peu trop littéraires par moment. Sortilège, avec ce premier album, fait partie de cette catégorie. Après tout, qui dit hard-rocker ne dit pas "analphabète", Rob Halford et Dio le prouvent dans leurs textes et ne sont pas les seuls heureusement ; Sortilège pour sa part aborde des sujets aussi variés que celui des limbes, de civilisations perdues ou encore le résumé de l’œuvre de Kafka : "La Métamorphose"… Ok ! Ce n’est pas franchement le contenu lyrique qui incite au headbanging je l’admets ; rassurez-vous, le contenu musical est tout aussi sinon plus riche, chaque morceau a ce "petit" quelque chose qui le distingue de l’autre : du hard attrocement (sic) lourd, intriguant à l’image de ruines, de "Civilisation perdue", à la douce mélodie à l’acoustique (intro) et électrique pleurant sur "Délire d’un fou", Métamorphose n’est autre qu’une tempête de rythmes, de riffs violents, où coulent des solos, un peu dans le style de Judas Priest, précis, jamais trop longs, jamais trop courts, tempête parsemée de moments étrangement calmes…
Amateurs de supersoniquement – "Shit" - metal : s’abstenir !ll »
Elka, Metal Attack n°8, mai 1984
2 – Majesté 4’48
3 – Hymne à la mort 5’31
4 – Légende 2’45
5 – Nuit des limbes 2’22
6 – Civilisation perdue 2’15
7 – Délire d’un fou 5’27
8 – Cyclope de l’étang 3’54
9 – Métamorphose 4’41
10 – Majesty (la version anglaise de "Majesté") 4’48
11 – Legend (version anglaise de "Légende") 2’44
12 – Lost civilization (version anglaise de "Civilisation perdue") 2’16
13 – Cyclops of the lake (version anglaise de "Cyclope de l’étang") 3’52
14 – Metamorphosis (version anglaise de "Métamorphose") 4’12
Il s’agit d’une édition limitée à 5.000 exemplaires numérotés sur la jaquette arrière du boitier CD. Le booklet comporte 16 pages avec des photos, les paroles et un texte d’introduction de Louis BOURGADE avec une traduction en anglais. Le booklet ne reprend pas le visuel du verso du 33 tours.
La pochette est signée Philippe Druillet, le dessinateur de bandes dessinées, créateur – notamment – de Lone Star. Cette pochette a été inspirée par un rêve de Zouille.
Les paroles en anglais sont de Vic Vergeat et Frédérique Laderrière.
Quant au producteur, Peter Lat, il s'agit en fait de Peter Ladwig, le chanteur et guitariste du groupe allemand FARGO (4 albums entre 1979 et 1982) qui abritait en son sein Mathias Jabs qui rejoindra SCORPIONS. Peter Ladwig continue à produire des albums.
Les chroniques de l’album :
"Cristal couleur métal, le divin "Métamorphose" me laisse muette et stupéfaite devant ses facettes éclatantes de technique et de mélodie.
Il y a dans cet album, une énergie monstrueuse, qui a parfois bien du mal à ne pas dépasser les limites qu’on lui octroie ; de démoniaques solos de guitares qui ravagent à feu et à sang chacune des 9 superbes compositions de cet album ; des somptueux atouts, j’avoue m’être laissée entrainer sans aucune résistance dans l’antre incandescente de Sortilège. Chaleur intense, tempos speed, "D’ailleurs", "Civilisation perdue", "Métamorphose" et sa gracile ouverture acoustique. Tempos plus modérés, rythmique forgée dans le béton armé, "Majesté", "Légende", "Cyclope de l’étang" à l’intro batterie menée de mains de maître par le talentueux BOB SNAXE (sic).
Inquiétant et imposant morceau, "Hymne à la mort" possède une ambiance toute particulière, propre à l’angoisse la plus tenace et aux cauchemars les plus éprouvants.
Poison mortel qui s’immiscie traitreusement dans mes veines, c’est "nuit des limbes". L’instrumental relativement court qui clôt la face A sur une vague de vent furieux.
Quant au slow "Délire d’un doux" (sic), il est magnifique. Devant cette voix fabuleuse, aux intonations si chaudes, si pures, si majestueuses, je dois dire que mon émotion est grande. Pour un délire, c’est en un, mais c’est bien agréable.
Tout au long de "Métamorphose", je n’ai cessé de ressentir intensément la force et le trio (sic) de ces grands sorciers que sont les musiciens de Sortilège.
Qu’hommage leur soit rendu en conséquence.
"Aucun ne peut me résister, je suis Majesté".
Assurément !".
JEE, Enfer Magazine n°24, mai 1984
"Ce premier album n’est pas ce qu’il y a de plus fort, ce n’est pas non plus ce qu’il y a de plus speed, ni même de plus cacophonique et cela n’est pas plus mal au contraire !
Si la devise de certaines formations hard’n’heavy consiste en 84 à jouer plus vite que l’éclair, plus fort que le mur du son et plus merdiquement que jamais et si en plus ces formations prétendant jouer non pas du Heavy Metal, le HM étant maintenant dépassé, mais du Speed and Black Metal (quel grand terme pour si peu de qualité !), d’autres par contre, au risque de ne pas plaire à ceux de la première catégorie, travaillent intelligemment le dosage de tout ingrédient constituant une mélodie, composent des lyriques au sens profond, imagés, un peu trop littéraires par moment. Sortilège, avec ce premier album, fait partie de cette catégorie. Après tout, qui dit hard-rocker ne dit pas "analphabète", Rob Halford et Dio le prouvent dans leurs textes et ne sont pas les seuls heureusement ; Sortilège pour sa part aborde des sujets aussi variés que celui des limbes, de civilisations perdues ou encore le résumé de l’œuvre de Kafka : "La Métamorphose"… Ok ! Ce n’est pas franchement le contenu lyrique qui incite au headbanging je l’admets ; rassurez-vous, le contenu musical est tout aussi sinon plus riche, chaque morceau a ce "petit" quelque chose qui le distingue de l’autre : du hard attrocement (sic) lourd, intriguant à l’image de ruines, de "Civilisation perdue", à la douce mélodie à l’acoustique (intro) et électrique pleurant sur "Délire d’un fou", Métamorphose n’est autre qu’une tempête de rythmes, de riffs violents, où coulent des solos, un peu dans le style de Judas Priest, précis, jamais trop longs, jamais trop courts, tempête parsemée de moments étrangement calmes…
Amateurs de supersoniquement – "Shit" - metal : s’abstenir !ll »
Elka, Metal Attack n°8, mai 1984
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